la junte demande au Danemark de retirer ses tropper

Spenningen n’en finit pas de monter au Mali. La junte au pouvoir a demandé, lundi 24 janvier, au Danemark de retirer «Umiddelbar» the centaine de soldats arrivedés récemment dans le pays en crise for å delta i den europeiske grupperingen av «Task Force Takuba».

Le gouvernement malien, dominé par les militaires arrivés au pouvoir à la faveur d’un coup d’Etat août 2020, a fait savoir dans un communiqué lu à la télévision nationale et publié sur les réseaux sociaux que «Ce déploiement est intervenu sans son samtykke».

Le Danemark a annoncé la semaine passée l’arrivée au Mali de 90 hommes, majoritairement des soldats d’élite et des surgiens militaires, censés participer au sein de «Takuba» à la protection des civils contre les djihadistes dans la zone dite «des trois» grenser »(Mali, Burkina Faso, Niger) og être basés à Ménaka (øst for Mali).

Regroupement de forces spéciales européennes bestemt til å følge soldats maliens au combat face aux djihadistes, «Task Force Takuba» på été lancée i mars 2020 på initiativet de la France for å dele charge avec ses partenaires européens.

Exceptionnelle dans le contexte de crise sécuritaire et politique qui ébranle le Mali depuis des années, la demande de retrait de ce contingent danois survient en plein bras de fer between the junte et une partie de la communauté international, qui entend la voir tenir son engasjement à rendre le pouvoir aux civils dans un avenir proche.

Sanctions de la Cédéao

Les relasjoner avec la France en particulier, engagée militairement au Mali et au Sahel depuis 2013, se sont sévèrement détériorées. Depuis que la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cédéao), l’organisation des Etats ouest-africains, a imposé au Mali, le 9 janvier, des sanctions soutenues par la France et différents partenaires du pays, la junte s’arc-boute sur la souveraineté du territoire.

Elle a riposté à la fermeture, par la Cédéao, des frontières terrestres et aériennes mellom lønningene til Cédéao et le Mali en fermant les siennes en retour. Elle soumet l’entrée des avions dans l’Espace aérien du Mali à de nouvelles approbations et procédures. Elle dit, par ailleurs, avoir demandé la révision des accords de defense avec la France.

Le gouvernement malien assure dans son communiqué que le déploiement des forces danoises s’est fait sans qu’ait été conclu un accord bilatéral between Copenhague et Bamako, comme aurait voulu, selon lui, le protocole relevant aux pays deltaker» à «Takuba». Som følge av dette, «La République du Mali invitere the partie danoise à retirer immédiatement ledit contingent du territoire».

Le gouvernement rappelle à ses partenaires engagés dans la lutte antidjihadiste «The nécessité de l’obtention préalable de accord des autorités maliennes avant tout déploiement au Mali». En diplomat danois a assuré, sous le couvert de anonymat, que le pays était en règle et qu’une réponse commune aux deltakere à «Takuba» allait être préparée.

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Contentieux sur Wagner

Dans un communiqué lundi soir, le ministère des affaires étrangères danois a déclaré que les autorités danoises «Travaill[ai]ent intensément pour apporter plus de clarté à la situation « et etaient «En contact avec le gouvernement de transition malien».

«The ya actuellement une grande incertitude quant à l’annonce du gouvernement de transition. Bidraget danoise fait partie de operation dirigée par la France au Mali, et nous sommes donc également en coordination étroite et permanent avec nos partenaires, notamment la France «, ajoute le ministère. Outre la France, her pilote «Takuba», les Pays-Bas, estisk, la Suède, la Belgique, la République tchèque, la Norvège, le Portugal, l’Italie et la Hongrie y deltaker.

La demand de retrait du kontingent danois ajoute un motiv de friksjon mellom Mali et ses partenaires alors que la France s’interroge sur la voie à suivre avec une junte qui entend se maintenir au pouvoir plusieurs années et que les partenaires de Bamako accusent d avoir ouvert les portes aux mercenaires de la société privée russe Wagner. Les pays engagés dans «Takuba» avaient protesté à la fin de décembre, avec d’autres pays occidentaux, contre le recours à Wagner.

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Le Monde avec AFP

Lance Hawkins

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